Julie Laupin, coordinatrice contrôle
qualité

Date de publication : 7 mars 2024

"J'ai de la chance de travailler dans une entreprise innovante. La réalité est très loin de la vision routinière que je pouvais avoir de l'industrie."

Image d'illustration, crédit photo ci-après

Julie Laupin, 29 ans, coordinatrice contrôle qualité, Crossject, Dijon (21)

Mon parcours

J’ai suivi une préparation au concours d’école d’infirmières et j’ai finalement opté pour un BTS (brevet de technicien supérieur) en esthétique. Après mon diplôme, j’ai décidé de changer d’orientation, car je me suis rendu compte que je n’étais pas faite pour ce métier. J’ai cherché un domaine plus technique et j’ai préparé un BTS bioanalyses et contrôles. Après avoir exercé 3 ans comme technicienne de laboratoire, je suis entrée chez Crossject comme technicienne contrôle qualité en CDI (contrat à durée indéterminée).

Mon quotidien

Cela fait presque 1 an que j’occupe le poste de coordinatrice contrôle qualité de ce site, qui compte une centaine de personnes. Crossject a breveté un système d’auto-injection sans aiguille pour l’administration de médicaments en situation d’urgence. Dans une entreprise comme la nôtre, le contrôle qualité est essentiel, car nous produisons un dispositif médical. J’examine l’ensemble des composants de ce dernier, qu’ils soient fabriqués en interne ou qu’ils viennent de nos fournisseurs. Je réalise aussi le contrôle qualité pour le client qui procède à l’assemblage final de ce dispositif. Ces tests se font de manière aléatoire. Je travaille avec les services chargés de la production chez nous et ceux qui traitent avec les fournisseurs pour l’approvisionnement. Dans mon précédent poste, j’effectuais beaucoup d’analyses. Comme coordinatrice qualité, j’ai davantage de rédaction de documents.

Mes motivations

J’apprécie beaucoup le fait de travailler dans une entreprise innovante. J’ai appris énormément de choses, notamment sur les autorisations de mise sur le marché des médicaments. J’aime aussi la polyvalence de mon poste. La réalité est très loin de la vision routinière que je pouvais avoir de l’industrie.


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