Margot, commerciale transport

Enjeux écologiques

Commerciale, Margot commence par faire de la prospection, soit par marché, soit par secteur géographique. J’identifie les entreprises qui pourraient être intéressées par le fret ferroviaire, je lance une campagne de mailing, je fais des visites sur le terrain, je sollicite des rendez-vous… Parmi les arguments avancés à ses futurs clients : l’impact moindre du ferroviaire sur l’environnement. Une tonne de marchandises transportées par train, c’est moins d’énergie consommée, moins de polluants dans l’air et d’émissions de CO2, moins de bouchons… 

Chiffres à l’appui

Pour convaincre les industriels, Margot leur propose des études de faisabilité gratuites. J’étudie les flux, les combinaisons route-train possibles, je calcule les coûts, je réalise une analyse de l’impact écologique… Sur 200 études par an, une petite minorité aboutissent : Je dois être patiente et persévérante. Une affaire me prend environ 1 an et demi entre le début des négociations et le début du fret. La jeune femme met également en avant les aides financières et les subventions qu’il est possible d’obtenir.

Le bon train

L’entreprise pour laquelle travaille Margot accompagne ses clients. Nous n’avons pas de flotte. Nous sommes tractionnaires et faisons appel à des prestataires.  Vrac solide (sable, béton…), produits palettisés… les wagons doivent être compatibles avec leurs marchandises. Pour cela, je suis aidée d’experts et de conseillers en chargement, ainsi que d’ingénieurs. L’idée est de proposer le train entier, ou à la découpe pour mutualiser le transport avec différents clients.