Revivez le tchat avec Jessica,
auxiliaire de puériculture

Date de publication : 27 mai 2015

Dans les maternités et les crèches, l'auxiliaire de puériculture accompagne les apprentissages des nourrissons et des jeunes enfants jusqu'à 3 ans, tout en veillant à leur hygiène et à leur confort. Ce métier vous intéresse ? Jessica Noyelle exerce dans une crèche de la région parisienne. Elle a répondu en direct à toutes vos questions mercredi 17 juin. Retrouvez ci-dessous l'intégralité des échanges.

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Soyez vigilants sur la date de publication de la retranscription du tchat qui correspond au jour du témoignage de l'invité(e). Certaines formations ou diplômes peuvent avoir évolué au gré des réformes. N'hésitez pas à utiliser notre moteur de recherche pour connaître les formations qui mènent à ce métier et les modes d’admission actuels. 

Modérateur : Bonjour ! Nous accueillons aujourd'hui Jessica Noyelle, auxiliaire de puériculture. Elle exerce dans une crèche de la région parisienne. Elle se tient prête à répondre à vos questions sur son métier, son parcours, les concours, etc. Bon tchat ! 

Jessica Noyelle : Bonjour à tous. Je vous remercie de votre présence et je vais tenter de répondre au mieux à vos questions ! 

Delphine : Pourquoi avez-vous choisi ce métier ? 

Mag22 : Pourquoi le métier d’auxiliaire de puériculture ? 

Jessica Noyelle : Le métier ne consiste pas uniquement à s'occuper des enfants. Mais si je l'ai choisi, c'est quand même, avant tout, pour le contact avec les enfants. 

Mag : Quel diplôme faut-il pour faire auxiliaire de puériculture ? 

Jessica Noyelle : Il faut obtenir le diplôme d'État d'auxiliaire de puériculture (DEAP). 

plantiernelly : Bonjour, je voudrais savoir quelle formation suivre pour exercer le métier d'auxiliaire de puériculture ? Sachant que j'ai suivi un parcours dans le domaine du secrétariat.

maellys : Quel est le parcours nécessaire pour devenir auxiliaire de puériculture ? 

Jessica Noyelle : Il faut suivre une formation d'auxiliaire de puériculture. Toute personne titulaire du brevet des collèges peut la suivre, quelle que soit la formation suivie précédemment.
Si vous avez le bac (secrétariat ou autre), vous serez même dispensée de l'épreuve de culture générale ! 

Lotyla : Est-ce que l’accès à la formation est difficile ? 

Jessica Noyelle : C'est un concours où il y a beaucoup d'inscrits et très peu de places. Mais rien n'est impossible !
Il y a deux épreuves écrites : une de culture générale et des tests psychotechniques (sur le raisonnement logique). 

Et une épreuve orale. L'épreuve orale consiste en un exposé sur un thème sanitaire ou social suivi d’un entretien de motivation.

Debby : Bonjour, quelles sont les conditions d'entrée ? 

Jessica Noyelle : Une note inférieure à 10/20 à l'une ou l'autre des épreuves est éliminatoire. Les motivations de la personne à entrer en formation sont fortement prises en compte.

Laure : Est-il nécessaire de faire la préparation au concours avant de passer le concours ? 

Jessica Noyelle : Personnellement, je n'ai pas eu besoin de prépa au concours.
Je me suis servie de livres, très bien faits et prévus à cet effet.
Mais la préparation peut être utile, ne serait-ce que pour savoir à quoi s'attendre le jour du concours. 

nounours : Est-ce que les études sont dures et longues ? 

maeva : Faut faire combien d'années d’études ? Est-ce que c'est dur ? 

Jessica Noyelle : Il y a deux possibilités de formation : la formation initiale, qui dure 11 mois, avec cours et stages ; la formation en apprentissage, qui dure 18 mois. Aux cours et stages s'ajoute une période employeur. On est noté sur des écrits et des épreuves pratiques.
Comme toute formation, il faut donner beaucoup de soi-même. Et il faut réviser.
Pour moi, le plus difficile a été le rythme : école, employeur, stage, révisions... 

romane : Si je suis titulaire d'un bac pro ASSP, d'un BEP ASSP et d'un CAP Petite enfance, que devrais-je passer comme épreuve au concours ? 

Jessica Noyelle : Vous n'avez que la partie orale à passer. 

Debby : Comment peut- on se préparer au concours ? Pouvez- vous donner des thèmes types pour l'oral ? 

Jessica Noyelle : Un exemple : une image, avec un enfant qu'on force à manger à la cantine. On nous demande : que fait-on ? L'idée est de se mettre en situation.
A l'oral, il y a un sujet à traiter, mais ce qui compte le plus, c'est vraiment la motivation du candidat à entrer en formation. 

romane : C'est-à-dire ? Test psycho et entretien ? 

Jessica Noyelle : Uniquement l'entretien pour les personnes ayant un bac ASSP. 

Deborah : Bonjour, je suis attirée par le métier d'auxiliaire de puériculture seulement je ne supporte pas les aiguilles. Êtes-vous souvent confrontée aux piqûres ? Si c'est le cas, comment m'y confronter pour voir ma réaction. Quel a été votre parcours pour en arriver là ?

Jessica Noyelle : L'auxiliaire de puériculture peut pratiquer son métier aussi bien en milieu hospitalier qu'en crèche, en PMI, en pouponnière...
Pour les personnes ayant la phobie des aiguilles, privilégier la crèche ! Cependant, pendant la formation, on a des stages obligatoires en milieu hospitalier.
Mais pour vous rassurer, une auxiliaire assiste l'infirmière, mais ne fait pas de piqûres. Les piqûres sont un acte médical que nous ne pouvons pas pratiquer. 

Lucie : C'est dur de trouver un stage ou une alternance ? 

Jessica Noyelle : Trouver un employeur n'est vraiment pas tâche facile !
Il faut vraiment postuler sans relâche, dans tous les milieux (crèches, hôpitaux...).
Pour ma part, j'ai été aidée par le CFA (Centre de formation des apprentis). Cherchez le plus proche de chez vous, et ils vous aideront ! 

MissPhooenix : Comment se déroule une journée type pour une auxiliaire de puériculture en crèche ? Qu'elles sont les activités principales tout au long de la journée ? 

Jessica Noyelle : Chaque journée est différente !
Mais il y a des temps forts récurrents : l'accueil du matin, avec la séparation des parents, les premiers soins (change de couches, lavage de nez...), les repas, la sieste, le goûter et les retrouvailles avec les parents.
Une journée type démarre à 7 h et se termine à 19 h. C'est très cadré de ce point de vue, mais les enfants en ont besoin pour se construire.
Pour le reste, il y a évidemment des activités. 

Mag22 : Quelle différence entre puéricultrice et auxiliaire de puériculture ? 

Jessica Noyelle : Une très grande différence !
Une puéricultrice est infirmière. Elle a fait un an d'études en plus (bac +4).
Elle peut être directrice de crèche, nous pas. Elle pratique aussi des gestes médicaux (piqûres, prises de sang...). C'est un autre métier ! 

Sohpie33 : Quelles qualités faut-il avoir pour faire votre métier ? 

Jessica Noyelle : La patience, l'écoute, car il y a une part de social dans ce métier.
J'entends aussi par-là respect et tolérance vis-à-vis de l'enfant et de sa famille.
D’autres qualités : la réactivité, le dynamisme et la prévenance. 

maryse : Comment fonctionne le travail d'une équipe d'auxiliaire de puériculture ? 

celine : est-ce facile en tant que jeune et nouvelle diplômée de trouver sa place dans une équipe ? 

Jessica Noyelle : Le travail en équipe est basé sur la communication et le partage.
Il faut aimer partager ses expériences.
Le travail d'équipe est important, car il permet de déléguer, ce qui est utile quand survient une situation compliquée avec un enfant : une collègue peut alors prendre le relais.
Trouver sa place dans une nouvelle équipe n'est pas simple. Souvent, on arrive dans des équipes déjà formées, en prenant la place de quelqu'un.
Mais en étant joviale et dynamique, ça roule ! 

Debby : Comment réagir face à une situation qui vous met en difficulté ?

Jessica Noyelle : Cela arrive régulièrement. C'est là tout l'enjeu du travail en équipe : de pouvoir passer le relais et de pouvoir en parler.
Si la difficulté venait à persister, il y a régulièrement des réunions avec la direction. C'est le moment d'en parler, sans être jugée, et de trouver des solutions. 

Sophiecool_85 : Quels sont vos outils de travail si vous en avez ? 

Jessica Noyelle : Mon principal outil de travail, c'est l'énergie ! A part ça, il n'y en a pas réellement. 

mag22 : Qu'est-ce qui vous plaît le plus ? Qu'est-ce qui vous déplaît vraiment ? 

Jessica Noyelle : Ce qui me plaît le plus, c'est le relationnel avec les enfants et leur famille, ainsi qu'avec l'équipe.
A proprement parler, il n'y a pas vraiment de choses qui me déplaisent... Mais il faut savoir que c'est un métier physique, qui se fait dans le bruit, et ce sont des conditions pas forcément évidentes ! 

Lucie : Est-ce que la formation prépare bien au métier ? 

Mathilde : Bonjour ! Je suis en réflexion sur le métier d'auxiliaire de puériculture, je me demandais si la formation correspond bien à ce que vous faites tous les jours en crèche ?

Jessica Noyelle : La formation est complètement en adéquation avec ce qu'on a sur le terrain.
Ça se vérifie déjà au moment des stages.
Il y a 8 modules :
- accueil d'un enfant dans les activités d'éveil et de la vie quotidienne (ça va beaucoup aider pour la crèche) ;
- état clinique d'une personne à tout âge de la vie (plutôt pour le milieu hospitalier) ;
- soin à l'enfant ;
- ergonomie (important car on a souvent le dos plié en deux et on ne s'en rend pas forcément compte !) ;
- relations et communication ;
- hygiène des locaux ;
- transmission et information ;
- organisation du travail. 

nelly : Sur quels sites peut-on se renseigner pour connaître les dates de concours ?

Jessica Noyelle : Il n'y a pas vraiment de site centralisé. Selon votre région, tapez dans le moteur de recherche "date concours auxiliaire puériculture" et le nom de votre région.
Il ne faut pas se contenter de ne passer qu’un seul concours. Ne pas hésiter à s'inscrire à plusieurs et tenter sa chance, dans la mesure de votre budget (les frais d'inscription se cumulent). 

mary74 : Bonjour, je voudrais savoir s’il est toujours possible de travailler en milieu hospitalier car j'ai entendu dire que les aides-soignantes étaient privilégiées en maternité et en pédiatrie car elles sont polyvalentes. 

Jessica Noyelle : Il reste des places pour les auxiliaires de puériculture, cependant elles sont difficiles à trouver, surtout en région parisienne.
Il est vrai que les aides-soignantes sont privilégiées, car on dit qu'elles sont plus polyvalentes. 

mili : Où avez-vous passé le concours ? 

Jessica Noyelle : J'ai passé deux concours :
- au lycée Liberté à Romainville ;
- à Nanterre, à l'IFSI, institut de formation en soins infirmiers.
J'ai poursuivi ma formation à l'IFSI. 

cassandre leboucher : Bonjour, je suis en terminale bac pro gestion administration et je voudrais être auxiliaire puéricultrice. Est-ce possible ? 

Salomé : J'aurais voulu savoir si le bac L peut convenir pour ce métier ? 

MARINE974 : Pour être auxiliaire puéricultrice, est-on obligé d'avoir un bac S ou ST2S ? 

Jessica Noyelle : Tous les bacs conviennent. Aucun n'empêche de passer le concours - au contraire !
Une personne titulaire d'un bac, qu'il soit général, technique ou professionnel, sera dispensée de l'épreuve de culture générale. 

romane : Comment se déroule un entretien au concours ? 

Jessica Noyelle : L'entretien dure une vingtaine de minutes. Pendant 10 minutes, on fait l'exposé sur le thème (sanitaire ou social) qui nous a été attribué.
Puis il y a les questions du jury, basées sur les motivations et notre parcours précédent (on envoie un CV quand on s'inscrit). 

carole : Est-ce que la formation vous a paru difficile ? 

devin : Je souhaiterais savoir si le diplôme est dur ou pas à passer.

Jessica Noyelle : Toute formation implique des révisions. Il faut donner de sa personne.
Le plus difficile pour moi a été le rythme, entre l'employeur, le stage, les révisions... Pendant 18 mois, on n'arrête pas ! 

Debby : Est-il compliqué de trouver une place dans une structure sortant de l'école ?

Sylvie : Bonjour, J'ai obtenu le diplôme par VAE. Je cherche un emploi maintenant. Des conseils pour des sites ?

Jessica Noyelle : Je vous conseille le site www.indeed.fr , rubrique auxiliaire de puériculture. Autrement, on peut s'inscrire sur Pôle Emploi.
Il faut démarcher les mairies et les crèches privées. Ça ne se fait pas via des sites Internet. Il y a aussi le site Adecco Médical pour des missions d'intérim.
À Debby : Non ce n’est pas compliqué de trouver une place. Au mois d'octobre, je donnais ma démission, j'ai retrouvé un poste dès le mois de novembre. 

Debby : Quelles sont les tâches à effectuer lors de la sieste ?

Jessica Noyelle : On prend notre pause, chacune à son tour. Souvent, on en profite pour s'occuper de la décoration de la crèche, pour avancer sur des activités à venir, etc. 

maellys : Avec le diplôme d'auxiliaire de puériculture, si vous travaillez en crèche et que vous voulez partir en maternité, est-ce que vous pouvez y accéder comme ça ou est-ce que vous devez passer d'autres formations supérieures ? (ou à l'inverse : pour le passage de la maternité à la crèche) 

Jessica Noyelle : On n'a besoin d'aucune formation supplémentaire.
Le DEAP est complet et nous forme pour pratiquer notre métier, aussi bien en crèche qu'en milieu hospitalier. 

nelly : L'auxiliaire de puériculture peut-elle monter en grade ? 

Jessica Noyelle : Oui. Toute personne ayant un bac ST2S, ASSP, des BEP Sanitaire et social, des CAP Petite enfance et ayant obtenu le DEAP, peut repasser des concours et évoluer pour devenir, par exemple, éducatrice de jeunes enfants. Mais il faut avoir l'un de ces diplômes. Autre solution : une fois qu'on travaille en tant qu'auxiliaire puéricultrice, au bout de quelques années d'activité on peut passer la VAE (validation des acquis de l'expérience) pour devenir éducatrice de jeunes enfants.
En milieu hospitalier, il est aussi possible de reprendre ses études pour essayer de devenir puéricultrice.
Enfin, il existe une passerelle pour devenir aide-soignante. Il n'y a que deux modules à valider. C'est une possibilité méconnue. 

Lucie : Est-ce que vous connaissez des formations à distance ? Est-ce bien ? 

Jessica Noyelle : Je n'en ai pas suivi, personnellement.
Je pense toutefois que ce qui nous enrichit, dans notre formation, ce sont les échanges qu'on va avoir avec notre promotion. Je trouve donc un peu dommage de vivre cela de façon isolée, sachant qu'en plus, on peut se retrouver face à des situations qu'on ne comprend pas, et que dans ce cas pouvoir échanger avec les autres est très important. 

Stéphanie : Peut-on trouver du travail en dehors de l’Europe ? Est-ce qu'après auxiliaire de puériculture on peut continuer ses études ? 

Jessica Noyelle : J'ai déjà répondu plus haut à la seconde partie de la question.
Pour la première partie, je connais une collègue qui a travaillé hors d'Europe, dans différents pays, pour le Club Méd. Les missions ne sont pas les mêmes. Il y a beaucoup d'animations.
Il existe également des possibilités dans l'humanitaire. 

Modérateur : Nous prenons les dernières questions

Vic : Visiblement vous travaillez avec une population d'enfants avec un léger handicap. Est-ce qu'il vous a fallu faire une formation spécifique ? Ou des compétences particulières ? 

Jessica Noyelle : Non. Pendant la formation, on parle un peu du handicap, mais en surface.
Ensuite, il existe plein de formations, tout au long de notre métier, et là, travaillant avec des enfants atteints de surdité ou malentendants, je commence la formation LSF (langue des signes française) et LPC (langage parlé complété).
C'est très enrichissant pour moi professionnellement. 

vudici : Il n'y a pas beaucoup de garçons, on dirait. Mais ce métier me plaît. Croyez-vous que j'ai mes chances ? Et que les parents me feront confiance ? 

Dam's : Y a-t-il des hommes qui font votre métier ? 

Jessica Noyelle : Oui, ça existe ! Ils existent ! Mais ils se font très rares...
Je trouve qu'il faut tenter sa chance, car je ne comprends pas pourquoi vous n'auriez pas votre chance.
Concernant les parents, il n'y a pas de raison non plus. Je pense même que cela pourrait être un atout, car je pense à tous ces papas qui arrivent à la crèche avec leur bébé et se retrouvent entourés uniquement de femmes. Ça les aiderait peut-être à communiquer plus facilement. 

lali : Aimez-vous votre métier, niveau ambiance, horaires et c’est malheureux de demander ça mais est-ce un métier payé dans les normes ? (où exercez-vous et si, c’est pas indiscret, combien êtes-vous environ payée ?) 

romane : Une auxiliaire puéricultrice gagne-t-elle plus qu'une fille qui n'a qu'un Cap petite enfance (en crèche) ?

Jessica Noyelle : Oui, une auxiliaire puéricultrice est mieux payée qu'une titulaire de CAP Petite enfance. La différence peut aller jusqu'à 250 ou 300 euros.
J'aime mon métier, j'aime me lever le matin pour aller travailler, donc au niveau ambiance, ça va !
Pour le reste, effectivement, c'est un métier qui demande beaucoup d'énergie, et comme je l'ai déjà dit, on travaille dans le bruit ! Donc bien réfléchir avant de se lancer.
Je suis payée 1 400 euros net. Le salaire d'une auxiliaire débutante est de 1 500 euros brut. 

léa : Est-il facile de trouver une place en service néonatalogie en tant qu'auxiliaire puéricultrice ? 

Jessica Noyelle : On s'occupe de nourrissons et d'enfants en bas âge, donc la néonatalogie est un service où il y a besoin d'auxiliaires de puériculture, plutôt que d'aides-soignantes. Cependant, les places sont rares. 

Sophiecool_85 : Quels sont vos liens avec les autres personnes ou services de votre crèche ? 

Jessica Noyelle : Nous sommes avant tout des collègues et nous travaillons en équipe. Cela implique beaucoup de communication et de partage. 

Modérateur : Le tchat se termine. Jessica, le mot de la fin ? 

Jessica Noyelle : J'espère avoir répondu à toutes vos questions, et vous avoir transmis ma passion pour ce beau métier ! 

romane : Merci beaucoup pour vos réponses !

Modérateur : Le tchat est terminé. Merci à tous pour votre participation et merci à Jessica pour ses réponses et ses conseils. Nous vous souhaitons une très bonne fin de journée ! 

 

 

Retrouvez Jessica dans ce diaporama sonore réalisé à la crèche multi-accueil Hélène Keller à Noisy-le-Sec.
Vous pourrez retrouver l'intégralité de ce reportage au sein de la publication
"Les métiers auprès des enfants", dans notre librairie en ligne.