N’hésitez pas à solliciter vos interlocuteurs
L’apprenti peut rencontrer un référent à chaque étape de sa formation : pour le mettre en relation avec l’entreprise, pour améliorer son employabilité… Pendant sa formation, il bénéficie d’un triple tutorat : un référent de formation et un chargé des relations entreprises à l’école, et un tuteur en entreprise.
Choisissez l’apprentissage même si vous n’avez pas encore de patron
Le CFA vous aide à trouver une entreprise. À Stephenson, 85 % des apprentis sont placés chez les entreprises partenaires. C’est aussi possible de commencer sa formation en apprentissage, même quand on n’a pas encore de contrat. À la rentrée, l’apprenant bénéficie d’un coaching renforcé, le temps de trouver un employeur.
Attention à l’écart entre le rêve et la réalité
D’un côté, les jeunes peuvent "embellir" l'idée qu'ils ont des métiers et avoir des désillusions. De l’autre, les entreprises peuvent avoir des exigences qui ne sont pas en adéquation avec les profils des apprenants. C’est le rôle du CFA de vérifier que chaque entreprise respecte le référentiel d’activité de la formation et de fluidifier les relations entre les jeunes et les entreprises.
Testez votre maturité
Tout le monde n’est pas fait pour l’apprentissage et la maturité est capitale. Les critères d’admission ne se fondent pas sur les notes, mais sur un projet, un état d’esprit, le quotient relationnel, la capacité à être en relation, en empathie. C’est important : à la rentrée, l’apprenti n’est plus un lycéen, ni un étudiant, mais un salarié.
Renseignez-vous, déplacez-vous !
Les établissements vont à la rencontre des jeunes : journées portes ouvertes, salons, invitations par des collèges et lycées. L’occasion de rencontrer des apprentis en formation et d’en savoir plus sur les formations, les conditions d’admission, les entreprises partenaires… Rien de tel pour connaître les exigences de l’alternance, les réalités des métiers et pour se projeter, ou pas, en apprentissage.