Ma première année en...

BTS gestion des transports et logistique associée

Image d'illustration, crédit photo ci-après

Après un bac STMG et un détour par un DUT GEA (aujourd’hui BUT), Kellie a choisi de poursuivre ses études en BTS GTLA. Pourquoi ce BTS ? Comment se passe sa 1re année de formation ? Comment envisage-t-elle l’après BTS ? Réponses.

Pourquoi cette formation ?

Kellie a grandi dans une famille qui travaille dans le transport et a toujours été attirée par ce secteur. Son bac STMG option mercatique obtenu, il lui est conseillé de faire un DUT GEA (aujourd’hui BUT). Elle valide sa première année, mais un stage dans le transport lui est refusé en deuxième année. "Je n’ai pas validé mon diplôme et j’ai décidé de faire un BTS GTLA, plus en cohérence avec mes attentes."

Ce qui change par rapport à la terminale ?

Elle découvre des matières en lien direct avec le transport routier, mais aussi maritime, aérien et international. "En anglais, le vocabulaire que l’on apprend est également lié au transport", précise-t-elle. Des exercices pratiques s’appuyant sur le terrain sont également demandés. On sélectionne les entreprises de transport à proximité, on choisit celle que l’on veut visiter et on en fait ensuite une présentation au reste de la classe."

A quel rythme de travail faut-il s’acclimater ?

Cours, travaux dirigés, travaux pratiques, devoirs et projets à rendre : le rythme de travail est soutenu. Malgré tout, Kellie trouve la charge de travail raisonnable. "Cela me demande beaucoup moins de travail personnel que lorsque j’étais en terminale."

Quelles sont ses matières préférées ?

Kellie aime particulièrement l’anglais car il est appliqué au secteur d’activité. Elle aime également beaucoup la mise en œuvre des opérations de transport. "On y apprend les différents types de camions, le vocabulaire autour du transport, comment on détermine le poids d’un camion… C’est une matière très concrète."

Quelles sont les difficultés rencontrées ?

De manière globale, Kellie est plutôt à l’aise dans la formation. Elle reconnaît cependant rencontrer quelques difficultés en conception des opérations de transport et de logistique. " Il s’agit principalement de calculs pour évaluer les coûts de transport et cela exige une bonne logique."

Et après ?

La jeune fille n’envisage pas de s’arrêter en si bon chemin. Elle peut envisager de compléter sa formation avec une licence pro ou un titre professionnel. "Je pense poursuivre en licence pro, plutôt tournée vers l’international, de manière à me spécialiser un peu plus."